En somme, nous avons cherché à prouver qu’il est difficile, mais pas impossible, de casser un verre en cristal avec la voix. Pour cela, nous avons d’abord analysé les contraintes sonores qui conditionnent notre expérience. Ainsi, nous avons démontré qu’une fréquence de résonance égale à celle du verre, un son pur et une puissance importante étaient nécessaires.
Or, nous nous intéressions davantage à la voix pour répondre à notre problématique. C’est la raison pour laquelle nous avons été amenées à évoquer les mécanismes vocaux et la manière dont on pouvait les améliorer pour augmenter nos chances de réussir l’expérience. Nous avons ainsi vu que le timbre et les harmoniques empêchaient de produire un son pur, mais qu’il était quand même possible de s’en rapprocher avec de l’entraînement et de la technique. L’étude des cordes vocales et de la position du larynx nous ont conduit à affirmer que ces éléments avaient un rôle sur la fréquence produite. Quand aux résonateurs, ils permettent d’accentuer l’intensité sonore émise. Enfin, nous nous sommes concentrées sur le matériau en lui même afin de démontrer que ses propriétés favorisaient sa casse. En effet le cristal, tout comme le verre, possèdent à peu près les mêmes caractéristiques. Ce sont des matériaux fragiles qui se cassent sans passer par une phase plastique car leur élasticité est limitée. De plus, la structure moléculaire amorphe est un atout à prendre en compte car elle simplifie l’expérience.
Pour finir, nous avons mis en pratique toutes nos recherches en tentant de briser nos verres. Nous n’avons pas réussi, ce qui justifie bien l’extrême complexité de cet exercice, qui requiert de nombreux paramètres. Néanmoins, une «Castafiore», ou plutôt un «Castafiore», a déjà réussi l’exploit (en direct à la télévision donc sans truquage !!!), ce qui nous conforte dans l’idée qu’il est possible de casser un verre en cristal avec la voix. Il s’agit du chanteur de rock Jaime Vendera, dont vous pouvez retrouver la vidéo explicative ci-dessous.
Or, nous nous intéressions davantage à la voix pour répondre à notre problématique. C’est la raison pour laquelle nous avons été amenées à évoquer les mécanismes vocaux et la manière dont on pouvait les améliorer pour augmenter nos chances de réussir l’expérience. Nous avons ainsi vu que le timbre et les harmoniques empêchaient de produire un son pur, mais qu’il était quand même possible de s’en rapprocher avec de l’entraînement et de la technique. L’étude des cordes vocales et de la position du larynx nous ont conduit à affirmer que ces éléments avaient un rôle sur la fréquence produite. Quand aux résonateurs, ils permettent d’accentuer l’intensité sonore émise. Enfin, nous nous sommes concentrées sur le matériau en lui même afin de démontrer que ses propriétés favorisaient sa casse. En effet le cristal, tout comme le verre, possèdent à peu près les mêmes caractéristiques. Ce sont des matériaux fragiles qui se cassent sans passer par une phase plastique car leur élasticité est limitée. De plus, la structure moléculaire amorphe est un atout à prendre en compte car elle simplifie l’expérience.
Pour finir, nous avons mis en pratique toutes nos recherches en tentant de briser nos verres. Nous n’avons pas réussi, ce qui justifie bien l’extrême complexité de cet exercice, qui requiert de nombreux paramètres. Néanmoins, une «Castafiore», ou plutôt un «Castafiore», a déjà réussi l’exploit (en direct à la télévision donc sans truquage !!!), ce qui nous conforte dans l’idée qu’il est possible de casser un verre en cristal avec la voix. Il s’agit du chanteur de rock Jaime Vendera, dont vous pouvez retrouver la vidéo explicative ci-dessous.
Au travers de ce TPE, nous nous sommes rendues compte que la voix atteignait ses limites en essayant de casser le verre. Cela met en évidence le fait que l’Homme soit constamment en recherche de performances exceptionnelles et de records. Par exemple, les alpinistes de haute montagne, malgré les risques élevés, tentent de gravir de nouveaux sommets toujours plus hauts et dangereux. De ce fait, nous pouvons nous interroger : pourquoi l’homme veut-il toujours repousser ses limites et se surpasser ? La neuroscience pourrait nous permettre d’analyser les réactions suscitées par ces exploits dans le cerveau de l’Homme.